Wednesday 29 January 2014

Priorities - priorités



What are your priorities for PIPSC?
Number 1: Fix the dysfunctional nature of the Board of Directors.  While it's easy to say this is an internal matter and it doesn't directly affect the members, the truth is that it has distracted the organization from its mandate to represent the members.  Time, energy, and resources are being put into complaints and counter complaints while the real work of PIPSC is set aside as staff and elected officials are distracted by other issues.  We have a dysfunctional Board and I for one am not confident that a current member of the Board is the best choice to get things back on track.
Number 2: Deal with this government's attacks on its workers and their rights.  We need more information about the "sick leave problem" that they intend to fix.  What exactly is the problem?  Is it that accumulated sick leave is a huge unfunded liability and they want to eliminate it?  Or are people taking too much sick leave?  Or are they trying to say that it's both at the same time? 
Is working in the federal public service making employees sick?  Or are employees paying more attention to their health?  Or do they think that people are abusing their sick leave?  Is this the fault of the employees?  Or the managers who are approving the leave?
Number 3: Challenge the idea that 4% of the workforce should be fired every year.  Are the numbers more important than the people?  Managers in the public service already have the tools they need to deal with performance issues.  What they don't have is clear direction.  The vast majority of employees are fully capable of performing their duties in a satisfactory manner but they need clear expectations, guidance in their roles, and the resources and time to do the job.  Instead they are given fuzzy direction, inadequate resources, and unrealistic expectations because, in turn, managers are forced to change priorities as the political wind shifts and senior executives are told to jump in a different direction.
Quelles sont vos priorités pour l’IPFPC?
Numéro 1 : Réparer l’état dysfonctionnel du conseil d’administration.  C’est facile de dire que c’est une matière interne qui n’affecte pas les membres, mais en réalité ceci distrait l’organisation de son mandat de représenter ses membres.  Trop de temps, d’énergie et de ressources sont dirigés vers les plaintes et les réfutations alors que le travaille important de l’IPFPC est oublié lors que le personnel et les officels élus sont distrait par d’autres problèmes. Nous avons un conseil d'administration dysfonctionnelle et pour ma part, je suis ne suis pas convaincu qu'un membre actuel du conseil d'administration est le meilleur choix pour nous remettre sur la bonne voie.
Numéro 2 : Faire face aux attaques de ce gouvernement sur ​​ses employés et leurs droits. Nous avons besoin de plus d'informations sur le « problème des congés de maladie » qu'ils entendent corriger. Quel est exactement le problème? Est-ce que les congés de maladie accumulés sont un énorme passif non capitalisé et ils veulent l'éliminer? Est-ce que les employés  prennent trop de congés de maladie? Ou est-ce que le gouvernement essaie de dire que c'est les deux en même temps?
Est-ce que travailler dans la fonction publique fédérale rend les employés malades? Ou est-ce que les employés paient plus d'attention à leur santé? Ou pensent-ils que les gens abusent de leur congé de maladie? Est-ce la faute des employés? Ou de leurs supérieurs qui approuvent le congé?
Numéro 3 : Contester l'idée que 4% de l'effectif devrait être congédié chaque année. Sont les nombres plus importants que les personnes? Les gestionnaires de la fonction publique ont déjà les outils dont ils ont besoin pour agir face à des problèmes de performance. Ce qui leur manque sont des directives claires. La grande majorité des employés sont pleinement capables de s'acquitter de leurs fonctions de manière satisfaisante, mais ils ont besoin des attentes claires, des orientations dans leurs rôles, et les ressources et le temps pour faire le travail. Au contraire, ils sont donnés des directions vagues, des ressources insuffisantes et des attentes irréalistes parce que, de leur tour, les gestionnaires sont obligés de changer les priorités avec les changements politiques et les cadres supérieurs sont obligés de sauter dans une direction différente.

Since 2004 - depuis 2004






Where have you been since you left PIPSC in 2004?
First, I took a vacation.  Then, in February 2005, I returned to the federal public service.  Initially I was at the Canada School of Public Service as the Senior Visiting Fellow, Human Resources Modernization, essentially keeping a low profile as I made the transition from senior union executive to senior manager.  Then I moved to the Canada Border Services Agency and, from there, was appointed Assistant Deputy Commissioner, Corporate Services for the Prairie Region of the Correctional Service of Canada (CSC).  In November 2008 my wife and I moved to Saskatoon as I assumed responsibility for human resources, technical services, finance,and policy and planning in the region.
I returned to the National Capital Region in 2011 and I finished my career as the lead facilitator for the “Labour Relations for Supervisors and Managers” course with CSC.  In this capacity I crisscrossed the country several times to deliver the course to hundreds of managers and supervisors.  In June 2013, after 33 years of public service, I retired from CSC.
Où étiez-vous depuis que vous avez quitté l’IPFPC en 2004?
Premièrement, j’ai pris des vacances.  En février 2005, j’ai retourné à la fonction publique fédérale.  Au départ, j’étais à l'École de la fonction publique du Canada en tant que principal collaborateur émérite, Modernisation des ressources humaines, gardant un profil bas lors ma transition du cadre supérieur du syndicat à un rôle de gestion supérieur.  Je me suis trouvé avec l'Agence des services frontaliers du Canada, et par la suite, j'ai été nommé sous-commissaire adjoint, Services corporatifs dans la Région des Prairies du Service correctionnel du Canada (SCC).  En Novembre 2008, ma femme et moi avons déménagé à Saskatoon alors que j'ai assumé la responsabilité pour les ressources humaines, services techniques, des finances, et de la politique et de la planification pour la région.
Je suis retourné à la région de la capitale nationale en 2011 pour terminer ma carrière en tant facilitateur principal pour le cours de ‘Relations de travail à l’intention des superviseurs et les gestionnaires’ pour le SCC.  À ce titre, j'ai traversé le pays à plusieurs reprises pour livrer le cours à des centaines de gestionnaires et superviseurs. En juin 2013, après 33 ans de service public, j'ai pris ma retraite du SCC.

Trust - confiance



You finished your career as a Senior Manager, why should I trust you as a union leader?
I became a Senior Manager on January 1, 1996 when I first became president of PIPSC.  I hold myself to principles of fairness, equality, and respect for all.  This has never changed.  Not when I became president, not when when I became a senior manager in the public service, and it will not when I’m re-elected this year.
My experience in the federal public service means I have first hand insight into the pressures and challenges with which senior management must deal.  This gives me a unique perspective and relevant experience when dealing with them as your president. 
In other words, this additional nine years of experience can now be put to use on behalf of PIPSC and its members.
Vous avez terminé votre carrière dans un rôle de gestion supérieur.  Pourquoi devrais-je vous faire confiance en tant que chef du syndicat?
J’ai pris un rôle de gestion supérieur quand je suis devenu président de l’IPFPC le 1 janvier 1996.  Je tiens à coeur les  principes d’équité, d’égalité et de respect pour tous.  Ceci n’a jamais changé.  Pas quand je suis devenu président, pas quand je me suis joint au cadre supérieur de la fonction publique, ni quand je serai réélu cette année.
Mon expérience dans la fonction publique me donne un véritable aperçu des pressions et des défis auxquels le cadre supérieur doit faire face.  Cela me donne une perspective unique et une expérience pertinente lorsque je travaille avec eux en tant que votre président.
En autres mots, mes neufs années d’expérience supplémentaire peut maintenant servir l’IPFPC et ces membres.

My health - ma santé



I’ve heard that your health is not good, what’s up with that?
In 2004, I was diagnosed with Multiple Sclerosis (MS).
While this can present a range of disabilities I have not experienced a significant impact to my life style.  I am as physically active as ever - I golf and curl - and I recently completed several hikes in the Canadian Rockies while on vacation.
Since 2006 I have participated in a drug trial at the Ottawa Hospital so my health has been closely monitored and my symptoms (episodic tingling in one arm or one leg) have been virtually eliminated.
Essentially, MS is not something I think about much except to remember my semi-annal check-up.  It certainly does not control me and it does not interfere with my day-to-day activities.
J'ai entendu dire que votre santé n'est pas bonne. Qu'est-ce qui se passe?
En 2004, j'ai été diagnostiqué de la sclérose en plaques (SEP).
Bien que cela puisse présenter un éventail de handicaps, je n'ai pas connu un impact significatif à mon style de vie. Je suis aussi physiquement actif que jamais – je joue au golfe et au curling – et je viens de terminer plusieurs randonnées dans les Rocheuses canadiennes pendant des récentes vacances.
Depuis 2006, je participe à un essai clinique à l'Hôpital d'Ottawa donc ​​mon état de santé a été étroitement surveillé et mes symptômes (picotements épisodiques dans un bras ou une jambe) ont été pratiquement éliminés.
Essentiellement, je ne pense pas beaucoup à la sclérose en plaques, sauf pour me rappeler mes rendez-vous semis-annuelles. La sclérose en plaques ne me contrôle pas et il n'y a aucun impact sur ma vie quotidienne.