Priorities - priorités
What are your priorities for PIPSC?
Number 1: Fix the dysfunctional nature of the Board of
Directors. While it's easy to say this
is an internal matter and it doesn't directly affect the members, the truth
is that it has distracted the organization from its mandate to represent the
members. Time, energy, and resources
are being put into complaints and counter complaints while the real work of
PIPSC is set aside as staff and elected officials are distracted by other
issues. We have a dysfunctional Board
and I for one am not confident that a current member of the Board is the best
choice to get things back on track.
Number 2: Deal with this government's attacks on its
workers and their rights. We need more
information about the "sick leave problem" that they intend to
fix. What exactly is the problem? Is it that accumulated sick leave is a huge
unfunded liability and they want to eliminate it? Or are people taking too much sick
leave? Or are they trying to say that
it's both at the same time?
Is
working in the federal public service making employees sick? Or are employees paying more attention to
their health? Or do they think that
people are abusing their sick leave?
Is this the fault of the employees?
Or the managers who are approving the leave?
Number 3: Challenge the idea that 4% of the workforce
should be fired every year. Are the
numbers more important than the people?
Managers in the public service already have the tools they need to
deal with performance issues. What
they don't have is clear direction.
The vast majority of employees are fully capable of performing their
duties in a satisfactory manner but they need clear expectations, guidance in
their roles, and the resources and time to do the job. Instead they are given fuzzy direction,
inadequate resources, and unrealistic expectations because, in turn, managers
are forced to change priorities as the political wind shifts and senior
executives are told to jump in a different direction.
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Quelles sont vos priorités pour l’IPFPC?
Numéro 1 : Réparer l’état dysfonctionnel du conseil
d’administration. C’est facile de dire
que c’est une matière interne qui n’affecte pas les membres, mais en réalité
ceci distrait l’organisation de son mandat de représenter ses membres. Trop de temps, d’énergie et de ressources
sont dirigés vers les plaintes et les réfutations alors que le travaille
important de l’IPFPC est oublié lors que le personnel et les officels élus
sont distrait par d’autres problèmes. Nous avons un conseil d'administration
dysfonctionnelle et pour ma part, je suis ne suis pas convaincu qu'un membre
actuel du conseil d'administration est le meilleur choix pour nous remettre
sur la bonne voie.
Numéro 2 : Faire face aux attaques de ce gouvernement sur
ses employés et leurs droits. Nous avons besoin de plus d'informations
sur le « problème des congés de maladie » qu'ils entendent corriger. Quel est exactement le problème? Est-ce que les congés de maladie accumulés sont un énorme passif non capitalisé et
ils veulent l'éliminer? Est-ce que les employés prennent trop de congés de maladie? Ou
est-ce que le gouvernement essaie de dire que c'est les deux en même temps?
Est-ce que travailler dans la fonction publique fédérale rend
les employés malades? Ou est-ce que les employés paient plus d'attention à
leur santé? Ou pensent-ils que les gens abusent de leur congé de maladie?
Est-ce la faute des employés? Ou de leurs supérieurs qui approuvent le congé?
Numéro 3 : Contester l'idée que 4% de l'effectif devrait
être congédié chaque année. Sont les nombres plus importants que les
personnes? Les gestionnaires de la fonction publique ont déjà les outils dont
ils ont besoin pour agir face à des problèmes de performance. Ce qui leur
manque sont des directives claires. La grande majorité des employés sont
pleinement capables de s'acquitter de leurs fonctions de manière
satisfaisante, mais ils ont besoin des attentes claires, des orientations
dans leurs rôles, et les ressources et le temps pour faire le travail. Au
contraire, ils sont donnés des directions vagues, des ressources
insuffisantes et des attentes irréalistes parce que, de leur tour, les
gestionnaires sont obligés de changer les priorités avec les changements
politiques et les cadres supérieurs sont obligés de sauter dans une direction
différente.
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